Que peut-on dire en quelques furtives lignes écrites à travers une réflexion dans le temps sur cette personne, sinon qu’elle représente une singulière allégorie de ce ver de terre qui s’enfouit (pour mieux s’enfuir !) en toute discrétion avec lâcheté et sans vergogne vers les bassesses et les vastes tréfonds de l’âme. Cette grande désinvolture si caractéristique de sa fourbe personnalité des bas quartiers, à une différence près, c’est que dans ces « dits » bas quartiers on a un code d’honneur !
Comment comprendre ce raisonnement de pacotille sans foi ni loi, où le jeu pervers de la manipulation sévit à travers une maladive et considérable mythomanie, voire une certaine pathologie mentale de la déraison, et le peu de cellules grises fonctionnent au gré de la couleur des billets amassés sous le matelas, ces derniers savamment détournés du tiroir-caisse !
Le tiroir de ses pensées corrompues par l’avidité de ramasser un maximum de « fric » propre ou sale, tous les moyens sont bons pour détourner l’attention dans sa visqueuse pensée unique, ou cette personne détient la vérité par son jeu de phasme ensorceleur qui tisse sa toile paralysante.
Comment un jour avons-nous croisé nos chemins ?
Nous sommes diamétralement opposés par nos manières de pensées, sachant que pour lui damer le pion il faut « aboyer » avec insistance, alors que la discrétion est la plus belle récompense d’une existence pour mener sereinement à bien ses projets. La vie parfois nous réserve des surprises, car comment pourrait-il en être ainsi ?
Certainement dans cette partie d’échecs, le fou est venu torpiller la reine, et le cavalier est venu se cabrer face au roi pour qu’il tombe tête la première !
En résumé : Une infâme histoire sans lendemain, où l’indifférence face à une personne névrosée ne peut se comprendre qu’avec les mots de la compréhension et la symphonique littérature de l’esprit, et non par le langage de « charretier » ou chaque jour qui se lève alimente des incessantes histoires mornes et désabusées, comme le bilan accablant de cette personne qui ne vit que par sa perfidie, son illusion de croire à ses dires nihilistes et sans fondements, tel le colosse aux pieds d’argile !!!
Chaque être peut avoir son point de vue et surtout sa propre opinion, afin de tenter de rentrer dans la réflexion et la compréhension de l’existence humaine avec ses règles qui régissent un raisonnement juste et égalitaire.
Comme pourrait énoncer le philosophe : On peut avoir une âme en deux corps.
Cette personne qui a une âme si toxique que son cœur bat d’un souffle désaccordé de ses émotions négatives.
Le monde qui entoure les bonnes âmes ne peut tolérer ce genre de comportement insoutenable et insensé, pour enfin avoir une pensée profonde sur l’émerveillement de la vie dans la quiétude d’un esprit doux et contemplateur.
Les chiens aboient, la caravane passe.
La morale de l’histoire peut nous enseigner que le tyran Pitbull confronté à sa propre solitude peut devenir peut-être un jour un gentil Toutou à sa Mémère…